We were like brothers
Lives entwined
Kids who grew up together
Dreaming of the world we’d get to see one time
I found a girl and you bought a car
Seemed like that summer was over in a minute
Now it’s a fading wedding card
And so life goes on, when childhood’s gone
The times we’ve had,
no words can say
And all the things we do
won’t fade away
A real friend’s like a shelter
on a rainy day
Tear of a widow, a hermit’s plea
Swords of an Angel King
We got to see the world in flames
before the calm
Fought like an eagle
Waited for the dove
We were the best,
never knew there was a limit
But now all hell has broken loose…
Need you to
Give my son my purple heart
Brother, leave me, run, don’t close my eyes
My last save point’s getting out of reach
My game is over, let me fade away
And will you tell my son
‘bout the purple heart
And what it means to have him keep it today
And that he knows I smile in the clouds above
Come see me at what he calls candle lawns… |
Nous étions comme des frères
Nos vies liées
Des enfants qui ont grandi ensemble
Rêvant du monde qu’ils iraient voir un jour
J’ai rencontré une fille et tu as acheté une voiture
Comme si l’été s’était fini en une minute
Maintenant c’est une carte de mariage s’effaçant
Et ainsi va la vie, quand l’enfance est partie
Les moments que nous avons eu,
aucun mot pour les décrire
Et toutes les choses que nous avons faites
ne s’effaceront pas
Un véritable ami est comme un refuge
les jours pluvieux
Larme d’une veuve, une excuse d’ermite
Les épées d’un Ange Royal
Nous devons voir le monde s’embraser
avant le calme
Combattu comme un aigle
Attendu pour la colombe
Nous étions les meilleurs,
ne sachant pas qu’il y avait une limite
Mais maintenant toute l’enfer s’est libérée…
Besoin que tu
Donnes à mon fils mon cœur pourpre
Frère, laisse-moi, cours, ne ferme pas mes yeux
Ma dernière sauvegarde n’est plus à porté
Ma partie est finie, laisse-moi disparaitre
Et tu raconteras à mon fils
‘sujet du cœur pourpre
Et ce que cela signifie qu’il le garde aujourd’hui
Et qu’il sache que je souris là-haut
Vienne me voir à ce qu’il appelle les pelouses de cierges… |