Till Death’s Done Us Apart

Jusqu’à ce que la mort nous sépare

Texte par Tony Kakko

You made me smile, dear
Now I never do when I’m alone
Pulling on a thread of life
Just to see what unravels this time,
My love’s a clone…

Once upon a time there was a boy who wrote a fairytale
Ding, dong, ding, dong,
Where everything would go wrong
And one day then…

He found a girl he fell in love with
Who thought forever is only a myth
They lived the fairytale, prophecy
And since slowly grew apart, but…

One, two, three, one, two, three
She was dancing on their wedding day
Hiding deep the secret in her heart…
Till death do us apart

There’s no sign of the love I found
In your heart, no more, no love, no wonder
You have tried to evade my touch,
It is plain to see we’re done, my weakness

When snow falls on the ruins once more
You’re still acting like a madonna
That you are not
I can hurt you now…
I know the pain, you’re already crushing me
By kissing me now…

You never should have loved me
‘Cause maybe my heart is made of stone
But still I wonder…
If our once forever is done,
Then, leave me.

In the light of the restless night
You fell asleep with the wound, forgot to bleed
For me, won’t you bleed for me
For the love, one drop, not more, my weakness

Snow must fall on the ruins once more
If you wish to see it end, you’ll have to
Paint your lips with the blood-red tar of my broken heart
Blood-red tar of a broken heart
The taste wears off, leaves a tainted scar…

I am nailed down on the wheel of torment
Spin me again, celebrate ends advent
Beautifully rust, my pain of sadness
Following your bread crumb trail to my madness

The darkest acres of human hearts are
Lit by the cinders of lost perfection
Once in a life time love, affection
Withering tree, most violent passion…

Once upon a time there was a man who lived his
Fairytale
Ding, dong, ding, dong,
And everything did go wrong
And one day then…

He lost the girl he fell in love with
She proved forever is only a myth
They lived the fairytale, prophecy
And were slowly torn apart

He is nailed down on the wheel of torment
Spin him again, celebrate ends advent
Beautifully rusting pain of sadness
Following her bread crumb trail to his madness

The darkest acres of human hearts are
Lit by the cinders of lost perfection
Once in a life time love, affection
Withering tree, the most violent passion…

You made him smile, dear
Now he never does, ’cause he’s alone
Hanging on a thread of life
Just to see what’ll save him now,
He wonders

You were like a siren,
Living on the island of his love
A drought in the chalice of life, so bitter
He knew it would kill him one day

Once upon a time there was a boy who wrote a
Fairytale,
Ding, dong, ding, dong,
Where everything would go wrong

Seems that he has found you now, so break the seal
And read the card
Ding, dong, ding, dong
“Until death has done us apart.“

Tu m’as fait sourire, ma chère
Ce qui n’est plus le cas maintenant quand je suis seul
Entraînant sur une menace de la vie
Juste pour voir ce que qu’il s’y dénoue cette fois,
Mon amour est une copie…

Il était une fois un garçon qui écrivait un conte de fées
Ding, dong, ding, dong,
Où tout peut mal tourner
Et un jour alors…

Il a trouvé une fille dont il est tombé amoureux
Qui pensait que pour toujours n’était qu’un mythe
Ils vivaient le conte de fées, la prophétie
Et depuis peu s’éloignèrent, mais…

Un, deux, trois, un, deux, trois
Elle était en train de danser le jour de leur mariage
Cachant profondément le secret dans son cœur…
Jusqu’à ce que la mort nous sépare

Il n’y a plus un soupçon de l’amour que j’avais trouvé
Dans ton cœur, plus rien, plus d’amour, plus d’émerveillement
Tu as essayé d’échapper à mon contact,
Il est clair que pour nous c’est terminé, mon point faible

Quand la neige tombe à nouveau sur les ruines
Tu agis encore comme une madone
Ce que tu n’es pas
Je peux te blesser désormais…
Je connais la douleur, tu es déjà en train de m’anéantir
Maintenant en m’embrassant…

Tu n’aurais jamais dû m’aimer
Car peut-être mon cœur est fait de pierre
Mais je me demande encore…
Si notre pour toujours d’autrefois est fini,
Alors, laisse-moi.

Dans la lumière d’une nuit inquiétante
Tu t’es endormis avec la blessure, oubliant de pleurer
Pour moi, ne pleureras-tu pas pour moi
Pour l’amour, une larme, pas plus, mon point faible

La neige doit tomber à nouveau sur les ruines
Si tu souhaites la voir s’arrêter, tu devras alors
Mettre sur tes lèvres le goudron rouge-sang de mon cœur brisé
Le goudron rouge-sang d’un cœur brisé
Le goût s’efface, laisse une cicatrice entachée…

Je suis cloué sur la roue des souffrances
Tournez-moi de nouveau, la célébration fini l’avènement
Magnifiquement rouillée, ma douleur dans la peine
Suivant les miettes de pain s’échappant de ma folie

Les étendues les plus sombres du cœur humain sont
Éclairées par les cendres d’une perfection perdue
Jadis dans un amour éternel, l’affection
Fanant l’arbre, passion plus foudroyante…

Il était une fois un homme qui vivait son
Conte de fées
Ding, dong, ding, dong,
Et tout tournait mal
Et un jour alors…

Il perdit la fille dont il était amoureux
Elle prouva que pour toujours n’est qu’un mythe
Ils vivaient le conte de fées, la prophétie
Et se sont lentement déchirés

Il est cloué sur la roue des souffrances
Tournez-le à nouveau, la célébration fini l’avènement
Magnifiquement rouillée par la douleur dans la peine
Suivant les miettes de pain s’échappant de sa folie

Les étendues les plus sombres du cœur humain sont
Éclairées par les cendres d’une perfection perdue
Jadis dans un amour éternel, l’affection
Fanant l’arbre, la passion la plus foudroyante…

Tu l’as fait sourire, ma chère
Désormais il ne le fait plus jamais, car il est seul
Suspendu sur le fil de la vie
Juste pour voir ce qui le sauvera maintenant,
Il se demande

Tu était comme une sirène,
Vivant sur l’île de son amour
Une sécheresse dans le calice de la vie, si amer
Il savait que cela le tuerait un jour

Il était une fois un garçon qui écrivit un
Conte de fées,
Ding, dong, ding, dong,
Où tout peut mal tourner

Il semble qu’il t’a maintenant trouvé, alors brise le sceau
Et lis la carte
Ding, dong, ding, dong
“Jusqu’à ce que la mort nous ait séparés.“

Analyse du morceau :

Il s’agit de la suite de la saga initiée par The End Of This Chapter et poursuivie dans les titres Caleb, Don’t Say A Word et Juliet.

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